Le Premier Ministre Garry CONILLE, protège 3 conseillers présidentiels accusés de corruption et licencie le dénonciateur à la tête de la Banque nationale de crédit
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Ayant bénéficié le soutien du Premier ministre Garry Conille, Louis Gérald Gilles, Smith Augustin et Emmanuel Vertilaire ont gain de cause dans le dossier de corruption leur opposant au président du Conseil d’administration de la Banque nationale de crédit (BNC), Raoul Pierre-Louis en l’absence de la justice
Sans le rapport de L’ULCC, sans que la lumière ne soit faite par la justice sur le dossier de corruption impliquant ces 3 conseillers-présidents, le Conseil présidentiel demande à Garry Conille de remplacer Raoul Pierre Louis par une commission de 5 membres dont 4 cadres de la BRH.
Pourquoi cette décision vient-elle tout juste après que Raoul Pierre-Louis avait dénoncé les 3 conseillers-présidents qui lui ont exigé 100 millions gourdes pour garder son poste? En matière de corruption, la loi doit protéger le dénonciateur. Le Premier Ministre Garry CONILLE, protège de préférence les 3 conseillers présidentiels accusés de corruption et licencie le dénonciateur à la tête de la Banque nationale de crédit
La commission qui sera nommée par la BRH sera illégale, puisque la Banque nationale de crédit n’est pas en faillite. La révocation de Raoul Pierre-Louis est arbitraire et illegale et c’est aussi la preuve que Garry CONILLE encourage Louis Gérald Gilles, Smith Augustin et Emmanuel Vertilaire dans leurs pratiques de corruption en livrant le dénonciateur aux corrompus.
