Haïti – Près de 1,3 million de déplacés internes : un record historique lié à la violence des terroristes
5 min read
Residents flee their homes to escape gang violence in the Nazon neighborhood of Port-au-Prince, Haiti, Thursday, Nov. 14, 2024. (AP Photo/Odelyn Joseph)
Le nombre de déplacés internes en Haïti atteint un sommet sans précédent avec près de 1,3 million de personnes contraintes de fuir leur domicile, selon un rapport de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) publié le 11 juin 2025. Cette augmentation de 24 % depuis décembre 2024 est directement liée à l’intensification des violences perpétrées par les terroristes, notamment dans la région métropolitaine de Port-au-Prince, où plus de 85 % du territoire est désormais sous leur contrôle. Ces déplacements massifs plongent des milliers de familles dans des conditions de vie précaires, souvent privées d’eau potable, de soins de santé et d’accès à l’éducation.
L’OIM souligne que 97 % des personnes déplacées l’ont été à cause d’attaques directes ou de la peur de violences armées. Des villes comme Mirebalais et Saut-d’Eau, dans le Centre, ont vu le nombre de déplacés exploser en quelques mois, tout comme des zones de l’Artibonite telles que Petite Rivière. Aujourd’hui, plus de 246 sites d’hébergement de fortune accueillent ces populations, dont la majorité est hébergée par des familles déjà vulnérables, aggravant la pression sociale et économique sur les communautés d’accueil.
Les agences humanitaires, notamment l’OIM et l’UNICEF, alertent sur les risques accrus de violences sexuelles, en particulier contre les enfants, ainsi que sur la montée de la pauvreté et des souffrances psychologiques. Face à cette urgence, l’ONU appelle à un appui rapide de la communauté internationale, à travers des interventions sécuritaires coordonnées et des solutions durables de développement. Le chaos sécuritaire qui ronge Haïti exige des actions immédiates et ciblées pour éviter un effondrement humanitaire total.
Gerlanda F
Haïti – Près de 1,3 million de déplacés internes : un record historique lié à la violence des terroristes
Le nombre de déplacés internes en Haïti atteint un sommet sans précédent avec près de 1,3 million de personnes contraintes de fuir leur domicile, selon un rapport de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) publié le 11 juin 2025. Cette augmentation de 24 % depuis décembre 2024 est directement liée à l’intensification des violences perpétrées par les terroristes, notamment dans la région métropolitaine de Port-au-Prince, où plus de 85 % du territoire est désormais sous leur contrôle. Ces déplacements massifs plongent des milliers de familles dans des conditions de vie précaires, souvent privées d’eau potable, de soins de santé et d’accès à l’éducation.
L’OIM souligne que 97 % des personnes déplacées l’ont été à cause d’attaques directes ou de la peur de violences armées. Des villes comme Mirebalais et Saut-d’Eau, dans le Centre, ont vu le nombre de déplacés exploser en quelques mois, tout comme des zones de l’Artibonite telles que Petite Rivière. Aujourd’hui, plus de 246 sites d’hébergement de fortune accueillent ces populations, dont la majorité est hébergée par des familles déjà vulnérables, aggravant la pression sociale et économique sur les communautés d’accueil.
Les agences humanitaires, notamment l’OIM et l’UNICEF, alertent sur les risques accrus de violences sexuelles, en particulier contre les enfants, ainsi que sur la montée de la pauvreté et des souffrances psychologiques. Face à cette urgence, l’ONU appelle à un appui rapide de la communauté internationale, à travers des interventions sécuritaires coordonnées et des solutions durables de développement. Le chaos sécuritaire qui ronge Haïti exige des actions immédiates et ciblées pour éviter un effondrement humanitaire total.
Gerlanda F
Le nombre de déplacés internes en Haïti atteint un sommet sans précédent avec près de 1,3 million de personnes contraintes de fuir leur domicile, selon un rapport de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) publié le 11 juin 2025. Cette augmentation de 24 % depuis décembre 2024 est directement liée à l’intensification des violences perpétrées par les terroristes, notamment dans la région métropolitaine de Port-au-Prince, où plus de 85 % du territoire est désormais sous leur contrôle. Ces déplacements massifs plongent des milliers de familles dans des conditions de vie précaires, souvent privées d’eau potable, de soins de santé et d’accès à l’éducation.
L’OIM souligne que 97 % des personnes déplacées l’ont été à cause d’attaques directes ou de la peur de violences armées. Des villes comme Mirebalais et Saut-d’Eau, dans le Centre, ont vu le nombre de déplacés exploser en quelques mois, tout comme des zones de l’Artibonite telles que Petite Rivière. Aujourd’hui, plus de 246 sites d’hébergement de fortune accueillent ces populations, dont la majorité est hébergée par des familles déjà vulnérables, aggravant la pression sociale et économique sur les communautés d’accueil.
Les agences humanitaires, notamment l’OIM et l’UNICEF, alertent sur les risques accrus de violences sexuelles, en particulier contre les enfants, ainsi que sur la montée de la pauvreté et des souffrances psychologiques. Face à cette urgence, l’ONU appelle à un appui rapide de la communauté internationale, à travers des interventions sécuritaires coordonnées et des solutions durables de développement. Le chaos sécuritaire qui ronge Haïti exige des actions immédiates et ciblées pour éviter un effondrement humanitaire total.
Gerlanda F
Manager et Rédacteur en chef chez Satellite509
Journaliste anti-corruption