Le non-respect du contrat de passage de cocaïne avec des cartels colombiens en 2021 a conduit à l’assassinat du président Jovenel Moïse, selon certaines informations
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Le contrat de passage de cocaïne des narco-trafiquants colombiens n’a pas été respecté en 2021, ce qui a conduit à l’assassinat du président Jovenel Moïse, selon certaines informations : des narcos, ayant comme représentants en Haïti les entrepreneurs Gilbert Bigio, Marc-Antoine Acra et l’ex-président Michel Joseph Martelly, entre autres, ont utilisé des gangs armés pour chasser l’État à l’entrée du Grand Sud d’Haïti, facilitant ainsi l’entrée de la drogue.
Ils se battent actuellement pour que les gangs contrôlent toutes les traversées jusqu’au département du Centre, limitrophe de la République dominicaine, qui sert de point de sortie pour la drogue destinée à Miami. Gilbert Bigio, qui possède également des intérêts en République dominicaine, étant aussi un associé du président Luis Abinader.
De ce fait, ce réseau utilise facilement la République dominicaine pour transiter la cocaïne et les armes en provenance des États-Unis, afin de renforcer la coalition criminelle « Viv Ansanm » qui assure le passage de la drogue.
Le 23 janvier 2025, le président colombien Gustavo Petro, en réponse à des politiciens qui se sont interrogés sur sa présence en Haïti, a déclaré que ceux-ci ne regardent même pas une carte. Le pourquoi, la cocaïne du Catatumbo ne part aux États-Unis que via Haïti. Cela cause des violences à Catatumbo et en Haïti. Cela finance les gangs haïtiens et l’ELN.
Par ailleurs, le président Emmanuel Macron avait involontairement affirmé que ce sont les Haïtiens qui ont tué Haïti, en laissant les narco-trafiquants…, avant de corriger sa phrase pour dire que le Premier ministre était super, mais a quand même donné la vérité.
Pour résoudre le problème de sécurité en Haïti, il est essentiel que l’État puisse contrôler les frontières du pays, notamment celles du grand Nord, qui séparent Haïti de la République dominicaine, ainsi que l’entrée du grand Sud.
Pendant ce temps, la police doit faire de son mieux pour éliminer les bandes armées. Il est également crucial de renforcer le système judiciaire afin d’interpeller les narcotrafiquants en Haïti, qui financent ces gangs.
Manager et Rédacteur en chef chez Satellite509
Journaliste anti-corruption
